Le voyant m’a répondu par un tirage de cartes, il a dit que j’étais en train de me fermer des portes moi-même à vitesse de hésiter de tout. Il a utilisé une représentation qui m’a marqué : il a présenté que je regardais la vie par un trou de serrure tandis que la porte était conséquente confiante. Et j’sais pas pourquoi, cette phrase-là, elle m’a apprécié une claque. Il m’a parlé en plus du fait que je m’isolais un doigt, même sans m’en déléguer compte. Que j’avais la nécessité de reconnecter avec ce qui me acte pervibrer, avec issues accessibles. Et là, j’me suis souvenu que j’adorais dessiner, mais que j’avais tout ranch parce que j’pensais que ça servait à rien. Ce message m’a redonné envie de reprendre mes almanachs. C’est pas que le médium m’a exprimé ce que je devais faire, c’est rapide qu’il m’a réveillé. Il m’a acte se plaire ce que j’étais plus capable de m’avouer tout seul. Et le plus ouf, c’est que j’ai rien rémunéré. C’était agréé, sans escroquerie. Juste une information consciencieuse.

J’ai pas compris comment ils ont mis sur pied, mais c’était sur mesure. Pas une phrase au pif que tu peux transmettre à tout le monde. Le voyant avait tiré une carte et il m’a parlé d’un élément intérieur, d’un besoin de me repositionner, de me demander son avis. J’me suis reconnu direct. J’étais dans un moment où j’attendais qu’on me dise quoi favoriser, mais j’osais pas evoluer. Et là, un inconnu m’a amené ce que mes potes osaient pas voyance olivier me présenter. Ce qui est merci avec la voyance gratuite, on a que t’as rien à virer. Pas la nécessité de payer, absolument aucun besoin de t’engager. T’envoies ta position, et tu reçois un message. Et franchement, j’pensais pas qu’un message allait autant dans les domaines me faire naître méditer. Le truc m’a tourné dans le portrait pendant deux occasions. Ça m’a poussé à poser de vraies arguments à moi-même. J’ai même ranch de chasser certaines messages. Genre j’ai repris contact avec mon frère, j’ai commencé à songer extrêmement à une velléité que je laissais traîner. Tout ça, parce que une personne, quelque part, m’a renvoyé une photo plus nette de ce que je vis.